Chuis naze
Ouhlala, elles sont pesantes, ces pantoufles, paf, on les envoie valser
Ouhlala, elles sont pénibles ces chaussettes, zou, on les enlève.
Ouhlala, elles tirent, ces boucles d'oreilles, allez hop, on les ôte en vitesse
Ouhlala, elles sont trop nombreuses, ces idées, pfiou, on s'en débarasse
Ouhlala, elles sont bien lourdes, mes paupières, je crois que je vais les laisser tomber
Il est même pas 21H, et j'envisage depuis déjà presque une heure d'aller me coucher. Une nuit de 5h, plus une aprem de réflexion (intense, certes, mais ca n'a duré que quelques heures, et Vince réfléchissait avec moi) sur une petite particule aspectuelle polynésienne étrange (dont je meurs d'envie de vous expliquer ce qu'elle a de chouette, mais vu qu'en fait, vous en avez probablement rien à battre, et je vous comprend, faut être un peu tapé pour s'enthousiasmer juste pour un petit kua comme ça, je vais pas le faire), ça suffit à me mettre KO, en ce moment, c'est inquiétant. Moi qui suis tellement fière de ma légendaire endurance (vu que je peux pas être fière de la régularité de mon travail, ni de ma capacité défaillante à m'organiser, suis obligée de me rabattre sur celle à mettre un énorme coup de collier quand j'ai le feu au derrière)... non, sérieusement, je suis un peu vexée.
Mais je vais quand même aller pioncer :)